ב''ה
Nous venons de
vivre à intervalles très rapprochés – nous avons l’impression que c’est de
plus en plus fort qu’avant - Tou
bi-Chevath, le Nouvel An des Arbres, puis Pourim, puis Pessa’h, puis le
Jour de l’Indépendance, puis le Jour
de Yérouchalaïm (48ème), enfin Chavouoth, le Don de la Tora au Sinaï. Chaque fête nous semblait
approfondir la précédente. Toutes nous donnent l’inspiration divine sur notre
présent et sur l’avenir, aussi bien celui d’IsraEL que celui du monde.
Deux passages
d’Isaïe (43 : 15-17 et 18-21) nous font REVIVRE ENSEMBLE DEUX EVENEMENTS :
1)
LA
TRAVERSEE DE LA MER ROUGE[1] et la destruction de ceux qui voulaient nous ramener
à l’esclavage d’Egypte ou nous tuer :
« Je suis HaChèm’, votre
Saint, Créateur d'IsraEL, votre roi. Ainsi parle HaChèm’, qui donne dans la
mer un chemin, dans les eaux puissantes un sentier, qui fait sortir char et cheval,
armée et puissance. Ensemble ils se sont couchés, sans pouvoir se
relever ; ils sont finis, éteints comme une mèche. »
2) LA GUERRE DES SIX JOURS EN 1967 où IsraEL-le-peuple
est revenu au cœur d’IsraEL-son-Pays : Judée, Samarie et Yérouchalaïm (versets 18-21) :
« Ne
rappelez plus les premiers (événements), et sur les temps antiques ne méditez
pas. Me voici, Je fais une chose
nouvelle ; maintenant elle va germer : ne la connaîtrez-vous
pas ? Oui, Je mettrai dans le désert un chemin, dans l'aride solitude, des
fleuves. Elle me glorifiera, la bête des champs, chacals et autruches. Car
J’ai donné dans le désert des eaux, des rivières dans l’aride solitude, afin d’abreuver עַמִּי בְחִירִי Mon peuple Mon choisi.
Ce
peuple-là, Je l'ai formé pour[2] Moi, Ma louange ils
conteront. »
Ces deux passages sont
comme les deux verres de nos lunettes hébraïques. Elles corrigent la myopie
spirituelle qui dit qu’IsraEL serait né en 1948. Les lunettes bibliques peuvent
même guérir de la cécité, où on croit voir le mirage d’un « peuple
palestinien » existant dès la plus haute antiquité, et la « création
de l’Etat d’IsraEL compensant la shoah que l’Europe honteuse fait payer aux pauvres
Palestiniens ».
Historiquement, le retour massif des pionniers juifs
a commencé dans les années 1860-1880, soit une génération avant le
sionisme de Herzl et la déclaration Balfour de 1917, et deux générations avant
la proclamation d’indépendance de 1948.
C’est le 26 avril 1920, à la Conférence de San Remo, que le droit naturel du peuple juif à disposer de
lui-même dans son Foyer National historique a été reconnu par la Société des
Nations, carte à l’appui. Comment peut-on prétendre qu’IsraEl est
une conséquence de la shoah survenue 20 ans[3]
plus tard ? La
charte de l’ONU (article 80) de 1945 déclare expressément confirmer cette
décision. Elle ne peut être révoquée, et tout découpage ultérieur est illégal
en droit international.
Ou alors, il faut annuler les autres Etats créés
par la SDN à la même époque :
1) sur
les dépouilles de l’Empire ottoman : Turquie, Bulgarie, Arménie, Syrie, Iraq,
Liban…
2) sur
celles de l’Empire austro-hongrois : Autriche, Hongrie, Tchécoslovaquie,
Slovénie…
Mais l’Europe ne pense plus en termes de droit international
quand il s’agit d’IsraEL : elle n’est certes pas antisémite,
dit-elle. Elle surfe simplement sur la haine des Juifs de ses 60 millions de
citoyens mahométans et sur les milliards de ses créanciers qatareux,
façonnée qu’elle était déjà par le dogme bimillénaire du remplacement
d’IsraEL par l’Eglise.
Gagnons du temps : le retour d’IsraEL-le-peuple dans IsraEL-le-pays
est un acte du D.ieu de la Bible.
Tsipi ‘Hotovely, nouvelle ministre adjointe des Affaires
étrangères israélienne, a déclaré le 21 mai 2015 aux diplomates et employés du
ministère « Il est important de dire que cette terre, toute la terre
entre le Jourdain et la Méditerranée, appartient aux Juifs. Nous n’avons pas à
nous excuser d’être venus ici ».
Elle a appuyé ses propos sur le commentaire de Rachi[4]
du premier verset de la Genèse, qui dit que la Tora s’ouvre, non comme le début
d’un recueil de lois, mais sur la création du monde « pour que, si les
peuples du monde viennent vous dire que vous êtes des voleurs et que
vous occupez la terre des autres, vous leur disiez que toute cette terre
appartient au Créateur de ce monde et que, quand Il l’a décidé, Il la
leur a prise et nous l’a donnée ».
Un participant à cet événement a raconté à l’AFP le choc
ressenti par un certain nombre de diplomates présents dans l’auditorium du
ministère quand ils ont entendu pour la première fois un aussi haut responsable
de la diplomatie « ériger des écrits religieux en principes conducteurs
de la politique étrangère israélienne ».
« Des écrits religieux », c’est déjà un peu suspect au pays de
Voltaire.
Si en plus, ces écrits se réfèrent aux prophètes de « l’Ancien
Testament », on nous rappelle que le royaume de Dieu n’est pas de ce monde[5]. De plus,
les lecteurs de la Bible sont rares.
Par sa seule existence, sans volonté de contradiction, IsraEL lance
un défi au fondement de l'Union Européenne.
L’idée de nations en Europe rappelle trop leur rivalité qui a provoqué tant de guerres.
Le problème, c’est
notre résurrection. Nous sommes restés morts si longtemps, qu’à présent, nous
sommes très attachés à la vie de notre peuple et à tout ce que l’Union
Européenne rejette :
- la préservation des racines,
- la transmission de la mémoire,
- le culte du héros,
- la fierté nationale,
- l’amour de notre Terre.
Face aux pacifistes des années 30 qui furent nombreux à rejoindre Vichy,
la démocratie israélienne ne craint pas de recourir à la guerre s’il le faut.
En Europe, la dissolution du civisme et l’augmentation des
« territoires perdus de la République » déclenchent une alarme :
où va l’Europe ? où va la France ?
Alors certains Européens regardent ailleurs, au loin, en pensant à
l’avenir des enfants. Des Français non-juifs envisagent de s’expatrier. Et des
Juifs nés en France, qui se sentent rejetés malgré leur volonté d’intégration
partent pour IsraEL pour se rapatrier.
L’idée de Patrie ici en IsraEL est porteuse. Et le sentiment de
solidarité fraternelle est particulièrement fort, surtout durant les brèves et
nombreuses guerres récentes.
Les ‘ôlim’, en hébreu biblique, ceux qui montent (de France en
IsraEL) étaient 1 800 en 2012, 3 263 en 2013, 6 658 en 2014. Il
est certain que l’insécurité est un premier motif. « J’enverrai des
chasseurs » annonce Jérémie (16 : 16).
Mais la motivation
plus profonde de l’alya (la montée) ressort d’une aspiration à la DIGNITE et au projet de construire L’AVENIR
POUR NOS GENERATIONS. Nous
pouvons lire dans la Bible hébraïque que de nombreuses annonces prophétiques se
sont réalisées
- tant pour le mal (la shoah)
- que pour le
bien comme ici en 1967.
L’année 1967 a été décisive pour l’alya, même si j’ai attendu longtemps.
Elle a d’abord été un sursaut de peur, puis un sursaut d’éveil, et il m’est
facile de la revivre. Je commençais à lire la Bible et découvrais que j’étais
juif. Personne ne m’avait dit auparavant que deux de mes grands-parents avaient
été gazés et brûlés à Auschwitz et à Maïdanek.
En 1967, les infos, c’était la guerre. La suave chanteuse
égyptienne Oum Khalsoum chauffait les masses du Caire par un hymne dont le
refrain était « Atba’h ! » (= « EGORGE ! »,
comme dans les rues de Paris en juillet 2014). Et l’ennemi était soutenu par
l’URSS.
Des fedayin
s’infiltraient régulièrement depuis l'Egypte, la Jordanie, la Syrie et le
Liban, pour assassiner des civils israéliens. La Syrie bombardait la Galilée
depuis les hauteurs du Golan. De plus, avec le Liban, elle entreprenait de
vastes travaux pour détourner les affluents du Jourdain en amont. C’était la
guerre de l'eau[6],
comme Isaïe 43 : 19-21 ci-dessus l’annonce.
Nasser signait
avec la Syrie une alliance militaire, puis rassemblait ses tanks dans le Sinaï,
après en avoir expulsé les casques bleus de l’ONU le 16 Mai 1967.
Bien qu’IsraEL ait
demandé à la Jordanie de rester neutre, le roi Hussein aussi signait avec
l’Egypte, sous la pression de son opinion publique. Puis il plaçait la Légion
Arabe de Jordanie, entrainée par les Anglais, sous les ordres d'un général
égyptien. Des soldats irakiens se positionnaient en Jordanie.
Que
« pesait » IsraEL 19 ans après sa restauration ? Le pays était pauvre.
Les 600 000 habitants de 1948 avaient d’abord absorbé les survivants de la
shoah européenne, puis « digéraient » à présent les réfugiés juifs
des pays arabo-mahométans,
des réfugiés dont on ne parle jamais. 2 400 000
Juifs survivants vivaient entourés de centaines de millions de mahométans acclamant Nasser.
Les
Américains étaient à cette époque occupés au Viêt-Nam, aussi les Soviétiques
avaient des raisons de penser que ceux-ci n’interviendraient pas.
Face à la
Méditerranée, nos ennemis n’avaient que 15 KM A FRANCHIR POUR COUPER ISRAEL EN DEUX.
L’injonction de la
France faite à IsraEL de revenir aux lignes du cessez-le-feu de 1949 apparaît
dans toute son INDECENCE. Chaque endroit d’où s’est retirée IsraEL (Liban
en 2000, Gaza en 2005, sans oublier le Sinaï en 1982), a aussitôt servi de base
au djihad. Golda Méïr disait « Nous préférons vos critiques à vos
condoléances. »
DE PLUS, SERIONS-NOUS ASSEZ INGRATS
POUR MEPRISER LE DON QUE D.IEU NOUS A FAIT EN 1967 ?
Le 23 mai 1967,
l’Égypte fermait le détroit de Tiran à tout navire, israélien ou non, sortant d’Eilat
ou s’y dirigeant. Ce blocus coupait IsraEL de son unique voie
d’approvisionnement notamment en pétrole iranien. Nasser cherchait le conflit,
c’était clair pour tous.
A l’exception de
la France, les autres puissances garantes de la paix régionale regardaient ailleurs. Cela laissait
entendre aux pays arabes qu’ils bénéficiaient d’un accord tacite approuvant leurs desseins génocidaires.
De Gaulle, lui, ne
regardait pas ailleurs. Le 3 juin 1967, il décrétait l'embargo sur les livraisons d'armes françaises au Proche-Orient, ce qui
revenait concrètement à ne priver qu’IsraEL d’équipements nécessaires, les
Arabes se fournissant chez les Russes. (Depuis, IsraEL a changé de
fournisseur). De Gaulle préparait une belle allocution, qu’il nous
servit le 27 novembre. Il nous faisait réviser tous les thèmes enseignés sur
les Juifs par le catholicisme durant 2000 ans.
Il nous décorait du
titre de « peuple d’élite, sûr de
lui-même et dominateur », tel que l’illustrait Tim.
Le 26 iyar 5727 (5 juin 1967), à 7 heures 15, la
quasi-totalité des avions de l'armée de l'air israélienne (environ 200)
partirent détruire avions et aérodromes égyptiens. Seuls douze avions de combat
restaient dans les aéroports israéliens pour la défense du pays. Le risque
encouru par l'expédition était incommensurable. Les Egyptiens disposaient d'un système de radars russe perfectionné.
Si ces avions avaient été repérés avant l'attaque, en route pour leurs
objectifs, beaucoup se seraient fait abattre, et IsraEL serait restée sans
armée de l'air efficace.
Or l'intégralité du système égyptien de détection antiaérienne tomba en
panne. D.ieu est béni, Lui qui a fait Sa
part : SON DOIGT a appuyé la détermination des pilotes d’IsraEL. Le
commandant de l'armée de l'air, le général Moti Hod était étonné par le côté
extraordinaire des résultats : « Même dans mes rêves les plus
fous, je n'aurais jamais osé imaginer un résultat aussi impressionnant. »
La plupart des avions égyptiens avaient été détruits au sol et les
pistes de douze aéroports militaires rendues impraticables, grâce à
l’utilisation de bombes spéciales.
Pendant ce temps, Nasser téléphonait à ses alliés : « Oui,
la guerre que les Arabes voulaient a commencé ! Partout les forces égyptiennes sont victorieuses ! Alors, vous
Syriens, Jordaniens, Irakiens, qu’attendez-vous ? On ne va rien vous
laisser du gâteau ! »
Serait-il hasardeux de supposer que SI L'EUROPE N'A
QUANT A ELLE PAS BRONCHE, CE FUT AUSSI A CAUSE DE CES FAUSSES NOUVELLES ?
La Jordanie, l'Irak et la Syrie entrèrent donc à
leur tour dans la danse, en commençant, comme ça leur va si bien, par des objectifs civils. L'état-major
israélien décida donc d'élargir l'opération et de mettre hors d'état de nuire
les autres armées de l'air. Dès 12 heures 45 et durant trois heures
supplémentaires, environ deux cents avions jordaniens et syriens
furent à leur tour cloués au tapis.
La
bataille de l'air fut gagnée en une journée, sauf pour quelques dizaines d'avions irakiens sur le point de s'envoler vers IsraEL
qui ne furent détruits sur leurs aérodromes que le lendemain.
Idem pour les Syriens, jusqu’aux crêtes du Golan, et les Jordaniens jusqu’aux ponts du Jourdain. IsraEL avait multiplié sa superficie par quatre et la navigation des navires israéliens par le détroit de Tiran était désormais assurée.
Et surtout, surtout,
les Juifs pouvaient revenir dans l’antique quartier juif ravagé[7]
depuis 1948 de « Yérouchalaïm chel zahav », jusqu’à son Mur antique,
juste avant la fête de Chavouoth. Aucun barbelé ne coupait plus la Ville d’Or.
Les parachutistes entrèrent par la Porte dite des Immondices et par la Porte
des Lions. Ils libérèrent le Mont du Temple, le lieu de la Gloire Divine. A 11
heures, sur toutes les radios, on entendit la déclaration de Motta Gour,
commandant des parachutistes : « Le Mont du Temple est entre nos
mains. »
Comment est-ce arrivé ? « Tu te lèveras, tu prendras Sion en pitié, car il
est temps de lui faire grâce: l’heure est venue ! » (Psaume
102 : 14)
Les écoles militaires analysent les
stratégies et tactiques d’Alexandre et de Napoléon, mais cette guerre des six
jours n’est pas au programme : elle est hors normes.
Au premier Pourim,
il y a 24 siècles, notre peuple en exil dans l’Empire perse (cf Iran) était
voué à l’extermination. En un seul jour, D.ieu et lui ont retourné la
situation, comme le 5 juin 1967, où IsraEL a survécu, frappé ses ennemis en
grand nombre et détruit leurs armes.
Les Juifs
n'avaient jamais au cours de toute leur histoire, biblique comprise, connu une
victoire – impliquant leur intervention personnelle – d'une telle ampleur en un
temps si bref.
Jacob
a reçu la nuit, au gué du Yabboq, le surnom « IsraEL », combattant de/pour
D.ieu. Comme cette nuit-là, en juin 67, IsraEL était seul. Les
responsables n’ont fait appel à aucun allié. Ceci apparaît, du point de vue
historique, comme étant un fait bénéfique. Que de fois, nos prophètes n’ont-ils
pas élevé la voix pour mettre en garde nos rois contre les alliances avec les
rois des nations !
Chaque fois qu’ils succombèrent à la tentation de s’allier
en vue d’une guerre menaçante avec les rois des pays voisins, tels que
l’Egypte, la Syrie, l’Assyrie, la Babylonie, la Perse, ils furent battus, trahis
et gravement humiliés. « Si vous placez votre confiance en D.ieu et en
Lui seul », ne cessèrent de proclamer les prophètes, « vous serez
victorieux ».
La victoire de 1967 ne fait que confirmer cette vérité
historique. Jamais notre peuple n’a vécu autant de miracles et connu une
victoire aussi fulgurante, que lorsqu’il a combattu seul, aidé uniquement de
D.ieu.
Notre
génération a eu le mérite d'assister à un dévoilement immense de la Présence
Divine avec l'éminent miracle du retour du peuple d'Israël sur son sol. Dans la
perspective de cette réalisation des prophéties bibliques, le miracle de la
guerre des Six jours est particulièrement éclatant, par la courte durée de ces
événements, mais également le déséquilibre des forces.
L’avantage
penchait logiquement vers l'axe des armées égyptienne, syrienne, jordanienne et
irakienne. Elles avaient ameuté en renforts des divisions de tout un groupe
culturel hostile prêt à parachever le génocide.
Pendant
ce temps, le monde libre s'apprêtait à établir le résumé d'une épopée juive
de dix-neuf ans, éventuellement à accueillir nos réfugiés pour un nouvel
exil. Mais il est passé le temps de l’exil.
Rabbi
Abba dit: « Il n’y a pas plus clair signe de la fin des temps que ce
verset : ‘Et vous, Oh montagnes d’IsraEL, laissez grandir vos branches
et laissez pousser vos fruits pour Mon peuple IsraEL, car leur venue
s’approche.’ » (Ezéchiel 36 : 8). (Sanhédrin 98a) Rachi le redit :
« Lorsque la Terre d’IsraEL produira ses fruits en abondance, la fin sera
proche, et il n’y pas de signe plus clair de la fin des temps. »
Qu’est-ce
qui peut arrêter le D.ieu d’IsraEL ?
Préparons-nous…
[1]
Yam Souf traditionnellement traduit par « Mer Rouge » (bien qu’elle
soit turquoise) : certains disent que c’est la déformation de « Mer
Rose » pour « Mer des Roseaux ». Mais le mot סוּף
(souf) ne veut pas dire que « roseaux ». Dans Jonas 2 : 6, il signifie
« algues », ce qui correspond bien mieux au contexte ici aussi. Bien
sûr, l’hébreu joue sur l’homonyme סוׂף (sof) qui signifie « Fin » pour évoquer
la Délivrance qui survient quand on croit être arrivé à la fin.
[2] « Choisi… POUR… ».
Il ne s’agit pas de chouchoutage, mais de la formation de l’outil divin POUR
la mission de transmettre la Parole de D.ieu, DANS SON CONTEXTE.
[3] L’Angleterre a interdit
l’entrée de leur Foyer aux Juifs en 1939 ! Autre point effrayant : en
Pologne, la majorité des rabbins était contre l’alya. Les nazis sont-ils
les seuls responsables de la shoah ?
[4] Rachi de Troyes en Champagne (1040-1105), le plus
célèbre commentateur de la Tora.
[5] Nous
devons alors oublier ce que nous savons de l’histoire de l’Eglise.
[6] A l’opposé de l’Egypte, de la Syrie, de
l’Iraq et de l’Iran, IsraEL dispose à présent de toute l'eau nécessaire, grâce
à une combinaison de techniques telles que la conservation, le recyclage,
l'innovation technologique agricole et la désalinisation. La menace de
bouleversements démographiques dus à la sécheresse – qui sont probablement le
pire de tous les grands problèmes de la région – peut se résoudre avec
de l'intelligence et de la maturité politique. Si l’islam ne les aveuglait pas,
les peuples voisins aux abois devraient penser à coopérer plutôt qu’à préparer
une guerre qu’ils perdront.
[7] Entre 1949 et 1967, ni l’Europe, ni l’ONU n'ont protesté, ni tenté quoi
que ce soit contre l’assassinat de civils israéliens par des snipers jordaniens
postés sur la Muraille, ni contre les tirs de mortiers, ni contre le dynamitage
des synagogues et l’utilisation des pierres tombales du cimetière du Mont des
Oliviers pour la constructions de latrines militaires, malgré les conventions
du cessez-le-feu de 1949.