ב''ה
QUELLES SONT LES FRONTIERES D'ISRAEL ?
Un premier passage biblique (Nombres 34 :
3-5) décrit notre frontière en commençant par le Sud : nous sortions
alors d'Egypte. Ce tracé est une de nos randonnées favorites dont se
souviennent nos visiteurs. On part de la
pointe de la Mer du Sel (Mer "morte"), en suivant le lit du torrent
Tsinn[1], puis on
serpente par la route en lacets de Maâlé Aqrabim' ("la Montée des
Scorpions"). En haut, c'est Canaan, en contrebas, le pays d'Edom et la
Arava. On se trouve alors à 150 km au Nord d'Eilat. On poursuit vers Qadech
Barnéâ (et là, on revient sur nos pas, car c'est l'Egypte). Plus loin se
trouve le lit du "torrent d'Egypte", qui dévale seulement
après de fortes pluies et débouche sur El Arich. Voici la Méditerranée, à 80 km à l'Ouest
de Gaza.
Ezéchiel (47 : 19)
annonce le rétablissement des 12 tribus d'IsraEL et indique la même frontière
Sud : "depuis Tamar
jusqu'aux eaux de Mérivot-Qadèch, le long du torrent jusqu'à la grande Mer".
Mais il décrit d'abord la
frontière Nord, car les exilés reviennent du Nord. "Des jours
viendront, dit le Toujours Présent[2], où l'on
ne dira plus : 'Vive le Toujours Présent qui a fait monter les enfants
d'IsraEL du pays d'Egypte !' mais 'Vive le Toujours Présent qui a fait
monter les enfants d'IsraEL du pays du Nord[3]
et de toutes les contrées où il les avait exilés !' Car je les aurai
ramenés sur leur territoire, que j'avais donné à leurs ancêtres."
(Jérémie 16 : 14-15)
A l'intérieur de notre frontière Nord, Ezéchiel 47 englobe tout le Liban
et une partie de la Syrie. Il cite les villes de Damas, Hamath (Hama) et Tsedad (actuellement Sadad).
Mais au Sud, la plus grande partie du Néguev (dont Eilat) n'est pas dans
ces limites. D.ieu indique à notre sortie d'Egypte et en ce
temps-là qu'Il a donné ce territoire à Esaü-Edom (Deutéronome
2 : 5).
Nous venons de voir dans Nombres 34 :
3-5, qu'il était question du "torrent
d'Egypte". Mais plusieurs générations avant, D.ieu avait dit à Avraham
(Genèse 15 : 18) "A ta
postérité… J'ai donné ce pays, du fleuve d'Égypte (l'unique fleuve est le Nil) jusqu'au Grand Fleuve, le fleuve Euphrate"
(qui coule en Syrie et en Iraq).
En hébreu comme en français, il existe deux mots différents pour "torrent"
et pour "fleuve". Ce n'est pas qu'une question de débit. La
particularité d'un torrent au Moyen Orient, c'est qu'il n'envahit son lit que
quelques heures par an, mais très violemment, juste après les pluies.
Le Néguev est inclus dans les frontières qu'indique Exode 23 : 31 :
"J'établirai tes limites depuis
la mer Rouge jusqu'à la mer des Philistins (la Méditerranée par
laquelle ces Crétois sont arrivés), et depuis le désert jusqu'au fleuve"
(l'Euphrate, en Syrie). Pourquoi ces différences importantes concernant
l'étendue et les frontières de notre Pays ?
AU DEPART L'ESPACE ENTRE LE NIL ET L'EUPHRATE
EST POUR LA DESCENDANCE D'AVRAHAM
Quand, à 75 ans, par amour pour Avram son mari privé d'enfant, Saraï
propose (Genèse 15 : 3) que sa servante Hagar soit mère porteuse[4], il va de
soi pour elle que l'Egyptienne lui donnera l'enfant. Elle veut le soustraire à toute
influence égyptienne. Mais son désir est irréalisable. C'est bien
évident pour nous, avec nos idées modernes. Or ces idées si évidentes et
modernes nous viennent précisément d’Avraham, ce révolutionnaire d’il y a 4000
ans. Le projet de Saraï est irréalisable parce qu'Avram ne peut retirer un
enfant à sa mère. L’esprit d’Avram vide l’esclavage de son contenu, éveille le
sentiment de dignité humaine et brise les chaînes.
La conduite ultérieure de Hagar montre qu'elle ne partage pas le projet
commun d'Avram et Saraï de "l’âme qu’ils ont faite à ‘Haran"[5] (Genèse 12 :
5) et de "ses disciples" (14 :15). Esclave venant de la
cour de Pharaon où Saraï a frôlé la catastrophe (Genèse 12), Hagar ne voit que
sa promotion fulgurante : elle est devenue la femme du chef. Elle remplace
"la vieille". Au lieu de coopérer avec Saraï, elle la méprise puis se
révolte. C'est D.ieu qui ordonne à celui qui, entretemps, est devenu Avraham
(et à qui ça ne plait pas) de renvoyer Hagar et son fils en Egypte vers son pays
d'origine. Plus tard, perdue dans le désert, elle abandonne son fils pour ne
pas le voir mourir (Genèse 21 : 15-21). IsmaEL, "l'homme au
caractère d'âne sauvage" (Genèse 16 : 12) quitte donc la région.
Contrairement à son père éleveur, sa profession sera tireur d'arc, et il se mariera
avec une Egyptienne comme sa mère. On retrouve ses descendants dans la
péninsule arabique. Cet esprit n'a pas changé. "Arabe" vient de la
racine ערב('ârav) qui veut dire "mélangé" :
prions pour qu'ils choisissent l'héritage de leur père Avraham fils de Chem
(Sem) plutôt que celui de Hagar l'Egyptienne fille de 'Ham (Cham).
Quant aux autres descendants d'Avraham, ils ont reçu leur héritage
ailleurs. "Avraham donna tout ce qu'il possédait à Isaac. Quant
aux fils des concubines qu'avait eues Avraham, il leur fit des donations de son
vivant. Il les envoya loin d'Isaac, son fils, vers l'orient, dans le
pays de Qédem (l'Est)." (Genèse 25 : 5-6)
Notez bien : "Isaac,
son fils", 100% Avraham-Sarah.
IL Y A DEUX SORTES DE PROMESSES DIVINES :
1. DES PROMESSES INCONDITIONNELLES A ISRAEL
Avraham a une nombreuse descendance, et Jacob est le produit
d'une sélection, selon le critère de fidélité. D.ieu en a fait Son seul et
unique peuple-instrument destiné à transmettre un message à tous Ses autres
enfants : "Tu es un peuple consacré pour le
Toujours Présent, ton D.ieu : Il t'a choisi pour Lui être un peuple סְגֻלָּה (Ségoula[6]) entre tous les peuples qui sont sur la face de la
terre." (Deutéronome
7 : 6) .
2. DES PROMESSES CONDITIONNELLES
· aux autres nations. L'attribution du territoire de Séïr (le
Néguev) à Edom-Esaü était provisoire. Il l'a perdu suite à son comportement envers IsraEL dans la "controverse de
Sion" (Isaïe 34 : 8 et ch 63, Ezéchiel 35 et Abdias).
· Attention : Même si IsraEl en tant que peuple bénéficie d'une
promesse inconditionnelle, les promesses divines aux INDIVIDUS d'IsraEL sont
conditionnelles, car la possibilité de sortir de l'Alliance existe. "Si vous vous conduisez selon mes lois, SI vous
gardez mes préceptes et les pratiquez…" (Lévitique
26 : 3) "Si vous êtes dociles aux
lois que je vous impose en ce jour, aimant le Toujours Présent, votre D.ieu, le
servant de tout votre cœur et de toute votre âme…" Sinon
"vous disparaîtriez bientôt du bon pays que le Toujours Présent vous destine."
(Deutéronome 11 : 13) Malgré la promesse
inconditionnelle au peuple, IsraEL subit collectivement les lourdes conséquences
des défaillances individuelles. D'où l'exil, mais aussi le retour contemporain.
Rien n'est figé pour Celui qui Se nomme le Toujours Présent. Ses
plans se développent d'une
manière dynamique. "Quand le Souverain donna leurs lots aux nations,
quand Il sépara les enfants d'Adam, Il fixa les limites des peuples d'après le
nombre des enfants d'IsraEL." (Deutéronome 32 : 8)
LA PROMESSE DIVINE DE bénédiction
à Jacob-IsraEL
dépasse CELLES D'AVRAHAM ET ISAAC SES AIEUX
וּפָרַצְתָּ
יָמָּה וָקֵדְמָה וְצָפֹנָה וָנֶגְבָּה
"ouPhaRaTSta Yama vaQedma vTsafona vaNegba" (c'est
une chanson)
"Tu feras brèche vers la Mer (à l’Ouest) et vers l’Est, vers le Nord et vers
le Néguev (Sud)." (Genèse 28 :14)
Notez bien "vers l’Ouest
et vers l’Est." Habituellement, on dit, selon le soleil, "d’Est
en Ouest". Ce qu'il va faire, il ne va pas le faire comme l'attend tout le
monde.
"Réjouis-toi, stérile (les
rescapés des exils et massacres) qui n'as pas enfanté ! Eclate en chants de triomphe, et pousse des cris de joie, toi qui n’as pas été en travail (idem) ! Car plus nombreux seront les
enfants de la femme délaissée (idem) que de la femme mariée (la
première génération d'IsraEL), dit le Toujours Présent.
Elargis l'emplacement de
ta tente, qu'on
déploie les tentures de ta demeure, n'épargne rien ! Allonge tes cordes,
renforce tes
piquets ! Oui, de droite et de gauche תִּפְרֹצִי (tiPhRoTSi) tu feras brèche ; Ta descendance recueillera l'héritage des nations, ils peupleront des villes
abandonnées." (Isaïe 54 :
1-3)
Ici תִּפְרֹצִי (tiPhRoTSi) et plus haut תָּ פָרַצְ(PhaRaTSta)
"tu feras brèche" le premier mot de
la bénédiction pour Jacob viennent du nom פרץ (PéRèTS) "Brèche",
celui du fils de Yéhouda qui, en naissant, fit brèche et sortit violemment de sa
mère Tamar (Genèse 38 : 29). Pérèts est un ancêtre du Roi David et annonce
le Machia'h, celui qui défonce, déborde, explose, le révolutionnaire qui doit apporter
le message de Jacob-IsraEL au-delà des barrières déjà existantes, aux quatre
coins du monde, selon Michée 2 : 12-13 : "J'aurai
soin de te rassembler tout entier, ô Jacob, de te réunir, ô reste
d'Israël ! Comme les brebis dans un parc, comme un troupeau dans le
pâturage, je les mettrai ensemble : ce sera une multitude bruyante
d'hommes. Il monte, le פֹּרֵץ (PoRèTS) défonceur
devant eux, ils défoncent et passent le portail, ils sortent de là, et il
passe, leur Roi, devant eux, le Toujours Présent est à leur tête."
Pour quel résultat ? "Toutes les familles de la terre seront bénies en toi et en ta descendance." (Genèse 28 :14)
Ce point capital précise que le
développement géographique futur d'IsraEL dans toutes les directions (laissons nos
chacals locaux hurler) étend la
bénédiction de justice et de fraternité produite par la Tora, la Parole du vrai D.ieu.
Quand on compare ce programme avec ce
qu'amène aujourd'hui, dans le monde, l'extension des régions soumises à l'islam, que ce soit sous le joug
de al-qaïda, daech état islamique, boko-haram, arabie saoudite, qatar, émirats, chiites et
autres gangs de Ramallah et Gaza…
Face au matraquage subi quotidiennement concernant cette idéologie politique déguisée en religion de
paix et d'amour, voici un extrait de l’étude réalisée sur le coran par
Alain Franquignon, agrégé de lettres[7]. Il s'est livré au calcul des occurrences de mots. Elles sont
révélatrices. L’absence d’occurrence l’est aussi.
Sur un total de 86 721 mots, il a écarté
tous les petits mots "outils" comme les articles, les prépositions,
les verbes être et avoir, les pronoms, les conjonctions, etc. Ces mots outils
forment un total de 28 519 mots. Il n’a donc gardé comme mots
"signifiants" que les noms, les verbes, les adjectifs et les
adverbes significatifs. Au total 58 202 mots signifiants qui
transmettent le message du coran.
·
5 800 mots évoquant allah[8] (prophète, fidèles, infidèles, saints, menteurs, mécréants …)
·
2 858 mots sur les thèmes vérité/mensonge (vraie
religion, mensonges des autres religions, croyances, incroyance…)
·
2 721 mots sur les thèmes récompense/punition (allah
doit être craint car il récompense les fidèles, et punit les infidèles)
·
918 mots sur celui d'obéissance (avertissements,
interdictions, prosternation, autorités…)
·
53 formes conjuguées du verbe "aimer",
pour dire qu’allah aime les croyants. Sinon il est employé dans le sens de
"souhaiter" ou "apprécier", ex : "les Juifs qui
aiment bien écouter le mensonge" (S 5, V 41), "les mécréants
aimeraient vous voir négliger vos armes…" (Sourate 5 : 102).
·
10 fois sur 58 202, le mot "amour"
apparaît, et encore :
o
4 fois pour désigner l’amour des biens et des richesses
matérielles,
o
3 fois pour parler de l’amour d’allah pour ses adeptes,
o
2 fois pour parler de l’amour des adeptes pour allah,
o
une seule et unique fois pour
désigner le sentiment entre un homme et une femme,
o
pas une seule fois, l’amour
d’un humain envers son prochain n’est mentionné dans le coran.
Pour les relations époux-épouse, le coran est explicite : "Vos
épouses sont pour vous un champ de labour ; allez à votre champ comme [et
quand] vous le voulez [...]" (2 : 223) "Une femme ne doit jamais
se refuser à son mari, même si c’est sur la selle d’un chameau."
Pour allah, il n’existe qu’une seule catégorie d’hommes dignes d’être
aimés, ce sont bien évidemment ceux qui lui sont dévoués, dont il a fait des "soumis"
(définition de "musulman"), surtout quand ils sont sur le sentier du
"djihad".
Le coran est extrêmement pauvre en message. Cette pauvreté s’exprime
par la répétition incessante de la même idée de soumission à Dieu, mais
aussi :
·
par l’absence complète d'une morale
universelle fondée sur la notion de Bien et du Mal qui vaudrait au-delà de
l’islam lui-même et pour tous les hommes (comme condamner le meurtre, le
mensonge, le vol, le viol, parce qu’ils sont le Mal en soi). Or ces mauvaises
actions ne sont pas du tout condamnées lorsqu’elles s’exercent contre l'autre,
le non-musulman.
·
On ne trouve pas dans le coran d’éloge du
travail. Par contre une sourate se nomme "Le Butin". Le mot
"travail" et ses dérivés n’apparaît qu’une demi-douzaine de fois, et
toujours associé à l’idée que de pauvres gens (ou des esclaves) y sont contraints
pour survivre.
Voilà le score accablant du coran : nous
asséner, jusqu'à la nausée, que nous devons obéir à allah, être de vrais
croyants, nous tenir loin du mensonge des autres religions, sous peine de "châtiments
douloureux". Pourquoi une telle répétition ? Dans l'espoir que si
on vous menace régulièrement, vous finirez par y croire. La répétition
tient lieu d’argumentation. Le coran n’explique pas, il affirme, menace et
répète. Voyez comment leurs prédicateurs dressent typiquement l'index.
L’essentiel de son message est de faire peser
sur vous les menaces d'allah. L’homme de guerre Mahomet reste un homme de
guerre, et son livre ne diffère du "Mein Kampf" de Hitler que par son
charabia spécifique et un prêchi-prêcha insipide qui enveloppe ses agressions
verbales incessantes.
Le coran est un livre ennuyeux et méchant :
- · ennuyeux à cause des reprises incessantes des mêmes idées, répétées jusqu'à la nausée,
- · méchant parce qu’il se dégage de cette lecture une impression produite par la répétition de MENACES.
La vie privee de Mahomet
confirme la catastrophe
Mahomet vit à La Mecque, lieu de pèlerinage où les Arabes, depuis la
nuit des temps, adorent entre autres une Pierre Noire, météorite représentant
l’idole lunaire[9]
nommée "allah". Jeune berger orphelin très pauvre, il épouse Khadija femme
d'affaires très riche, de 15 ans son aînée. Passons, les Français l’auraient
gentiment surnommé "Momo le gigolo".
Disposant désormais de loisirs et d’autorité, il monte les pauvres
contre les riches et les incite à la rébellion. En Europe, il aurait eu la
réputation d’un agitateur.
Mahomet (qui ne sait pas lire) s'approprie des récits tirés du judaïsme
et du christianisme ; il en confond les détails, en ignore la portée
et en fait un amalgame désordonné en y ajoutant des légendes et récits entendus
des caravaniers de passage. Il prétend que c’est "allah" qui lui
dicte cette soupe indigeste. Si le sens de l’humour avait existé en Arabie, on
aurait appelé cela corâneries, l’islam une secte et son fondateur un
gourou ignare.
Mahomet, devenu veuf de sa riche épouse, se remarie avec la fille de son
conseiller Abou Bakr, Aïcha, qui a 6 ans. Il consomme le mariage alors qu'elle
a 9 ans. Les journaux belges auraient titré : "Momo le pédo".
De Médine, où il s'est réfugié quand son clan a cessé de le protéger, il
organise des attaques de caravanes. Dans les Molenbeek franco-belges, on
l’appellerait chef de racailles.
Réussissant sa carrière de caïd, il collectionne les femmes (on parle de
26 épouses et d'une multitude d'esclaves). Convoitant celle de son fils
adoptif, il révoque son adoption, pousse son ex-fils à divorcer et épouse l'ex-belle-fille.
S’il ne s’était pas décerné le titre de "prophète", il aurait reçu
celui de pervers boulimique sexuel.
En plein mois de trêve, Mahomet surprend et écrase ses ennemis. Si l'ONU
n’était pas dominée par l’Organisation de la Conférence Islamique, Interpol
l’aurait fiché comme criminel de guerre.
A Médine, il fait assassiner ceux qui le critiquent : des poètes, une mère de cinq enfants, un ami de sa famille, une femme qui refuse de croire en lui. Si ça ne s’était pas passé en Orient mais à l’Ouest, on aurait placardé ces affiches :
Furieux de voir que les Juifs ne se rallient pas à sa cause, il confisque
leurs biens et les massacre. Qu'importe à l’Occident qui dénie ses racines
judéo-chrétiennes, et met l’islam sur le même plan en tant que "troisième
monothéisme".
Mahomet invente ses lois et organise l'état islamique, premier du nom, en
fonction de ses intérêts personnels. Il affirme avec aplomb que telle est la
volonté d’"allah". Dans toute société normale, on l'aurait traité d'escroc.
Mahomet s'empare de La Mecque, en 629, sans combattre, à force de ruses,
de manœuvres et d'intimidations. S’il était né après Machiavel, on l'aurait dit
"machiavélique".
Mahomet institue la razzia comme politique. Il favorise son clan dans
les avantages matériels et loue sa protection aux "dhimmis". En
Sicile, on chuchoterait "mafia".
Dans tout pays sain d'esprit, une pratique partagée par 10% de
la population mais 70% des pensionnaires des prisons, proposant comme
modèle un gigolo, agitateur, gourou ignare, pédophile, chef de racailles,
pervers boulimique sexuel, criminel de guerre, serial killer, escroc
machiavélique mafieux, etc. serait déclarée contraire à l'ordre public et interdite parce que mettant
la société en danger.
C'EST CONTRE CECI QU'ISRAEL SE DRESSE
Courage, le vrai D.ieu nous annonce "tu feras brèche" תִּפְרֹצִי (tiPhRoTSi) dans Isaïe 54 : 3 et פָרַצְתָּ (PhaRaTSta) dans Genèse 28 :14 et 38 : 29. Il existait ici au centre du monde un volcan éteint depuis vingt siècles. Sur ses cendres, l’Occident chrétien et l’Orient mahométan avaient cru se fonder, tablant sur l’extinction existentielle et la déchéance spirituelle définitives du peuple d’IsraEL. Mais le volcan IsraEL s'est réveillé. Pour eux, la résurgence de la souveraineté d’IsraEL à Yérouchalaïm est un événement cataclysmique sur le plan symbolique. Dans son âme, sans que l'esprit de ses dirigeants laïcs l'ait prémédité, le peuple IsraEL reçoit les ressources d’une bravoure métaphysique et de l’esprit prophétique. IsraEL reprend sa place.
Bien entendu, l'adversaire fait face. Il utilise dans le désordre les
lettres de "tu feras brèche" תִּפְרֹצִי (tiPhRoTSi)
d'Isaïe 54 : 3 et פָרַצְתָּ
(PhaRaTSta) de Genèse 28 :14 et 38 : 29 : צָרְפַת (TSaRePhaTh),
le nom hébreu de la France.
QUE VIENT FAIRE LA FRANCE LA-DEDANS ?
1 Rois 17 : 8 nous parle du prophète Elie et de la veuve de
"Sarepta". Il y a plus de 2500 ans, des navigateurs venus du port
phénicien (libanais) de צָרְפַת (Tsaréphath, Sarepta en grec, Sarafand en arabe) donnent
au rivage situé entre l'Espagne (Séfarad) et l'Italie le nom de leur port Tsaréphath
qui signifie "fonderie".
L'historien Pline l'Ancien écrit qu'on y a inventé la fusion du verre. Tsaréphath vient
de la racine צרפ Tsaraph : fondre, raffiner,
mettre à l'épreuve, éprouver (et éprouver la justesse), trier, épurer, purifier.
Réputée mondialement pour son raffinement culturel, la
France est ainsi prophétiquement nommée. Fière de sa Révolution, la France a
lancé les lumières de "liberté, égalité, fraternité". Proclamée patrie
des droits de l'homme, elle a attiré Italiens, Espagnols, Portugais,
Polonais, Juifs. Tsaréphath, la France, la Fonderie les a tous fondus
et en a fait de bons Français. Mais en 1940, elle a livré aux nazis des milliers
de Juifs éperdus d'assimilation à la nation française. En échange –
mesure pour mesure – la France reçoit depuis 40 ans une dizaine de millions de mahométans,
qui ne viennent pas pour devenir des Français. La Fonderie est tombée en panne. Et ce,
malgré la complaisance de la France pour la
"cause palestinienne[10]" et une hostilité hypocrite et venimeuse vis-à-vis d'IsraEl depuis 1967.
Après chaque attentat, les dirigeants assurent de leur lutte contre
l'antisémitisme. Or le Ministère des Affaires étrangères ainsi que l'AFP
fournisseur étatique de dépêches pour l'ensemble des media rabâchent sans cesse
"colonies", "colons", "territoires palestiniens occupés",
"Gaza prison à ciel ouvert". Croit-on que les "Français"
Nemmouche, Kouachi et autres Coulibaly, ne regardaient jamais la télévision ?
Oublie-t-on que Mohamed Merah avait déclaré qu'il voulait tuer des Juifs, parce
qu'il avait vu à la télévision la façon dont les Juifs traitaient les enfants "palestiniens" ?
Les récents attentats ont amené le gouvernement français à prendre des mesures
parfois mal vécues par une partie des mahométans dans le cadre de l’état
d’urgence. Il reste au Président Hollande une année pour reconquérir cet
électorat dont on sait aujourd’hui qu’il a suffisamment fait la différence pour
lui permettre d’être élu en 2012. Nous verrons ce que vaut ce calcul
électoral. Car les mahométans en France ont les mêmes préoccupations et inquiétudes
que leurs voisins, et rien ne dit que la "cause palestinienne" fasse partie
de leurs préoccupations…
Le 16 avril 2016, la France a voté en faveur d’une
résolution de l’UNESCO proposée par l’Algérie, désignant le Mur Occidental du Mont du Temple "Place
Al Bouraq", du nom de la jument ailée sur laquelle, une nuit en
rêve, Mahomet arrivait de La Mecque. En octobre 2015, la France avait déjà déclaré,
avec l'UNESCO, le Caveau des Patriarches à Hébron "site exclusivement
islamique".
Comme pour le projet d’organiser à Paris une "conférence de la paix"
dont l'intention est d'annuler le "retour à la maison d'IsraEL" en 1967,
la France s'associe à des escroqueries intellectuelles grotesques et
perfides, d’une rare violence symbolique, dont le seul objet est de
dépouiller le peuple juif de son patrimoine historique et spirituel. Ainsi, l'alya
des Juifs de France ne fera que grossir, le Néguev fleurira, le jugement vient
bientôt, et le Roi aussi. Il existe bien un lien profond entre la France et la
Délivrance Messianique :
"L’exil de cette armée des enfants d’IsraEL
qui (sont) cananéens[11]
jusqu’en France, et l’exil de Yérouchalaïm qui (est) en Espagne hériteront des
villes du Néguev. Des libérateurs
monteront sur le Mont Sion pour juger
la montagne d'Esaü et la royauté appartiendra au Toujours Présent." (OvadYa[12] Abdias 20-21)
Amis d'IsraEL, le but de tout ça, c'est de vous retrouver à Yérouchalaïm
"chaque année pour se prosterner devant le Roi, le
Toujours Présent des Armées, et pour célébrer la fête des Cabanes" (Zacharie 14 : 16)
[1] Pour ceux qui nous y ont accompagnés, le site
grandiose du tombeau de Ben Gourion à Sdé Boqer surplombe le lit du torrent
Tsinn.
[2] Nous
traduisons le Tétragramme יהוה YHVH par "Le Toujours Présent" en
rapport avec sa signification grammaticale (inaccompli du verbe הוה = être présent). Il est temps que, sans la galvauder, la signification du Nom au dessus de tout nom soit révélée, afin que nous puissions vraiment Le sanctifier. La traduction ordinaire « Eternel »
est glaciale. « Seigneur » est trop vague. Nous écrivons IsraEL pour faire
ressortir du nom de notre peuple, Celui de EL (D.ieu) sans qui IsraEL
ne sera rien. Nous écrivons D.ieu pour préciser : L’Unique
d’IsraEL.
[3] Un million de Juifs libérés de l'ex Union
soviétique.
[4] Selon le procédé de "mère porteuse"
de Sarah, Jacob a eu douze fils (Genèse 30 : 3 et 9), et comme Sarah,
d'immenses problèmes.
[5] Genèse 12 : 5 écrit "l’âme qu’ils ont faite à
‘Haran", ce qui est souvent déformé en "tous
les biens et les gens qu'ils avaient acquis à 'Haran".
[6] Peuple סְגֻלָּה (ségoula), littéralement " peuple-violette". סגל SGL est la racine du verbe
"siguel", adapter. "Ségoula" : trésor, aptitude,
qualité spécifique ou remède à la composition équilibrée (mais honte aux
vendeurs d'amulette). "Sagol" veut dire violet. Cette expression
traduite par "peuple choisi" n'est compréhensible qu'à partir de la
couleur violette qu'on obtient en mélangeant du rouge et du bleu. Le rouge
du sang évoque la vie charnelle créée par D.ieu, remplie de Son souffle qui est
comme le bleu du ciel divin. La couleur violette est donc "le juste
milieu" dans lequel D.ieu a créé Adam’ et chacun de ses enfants. Notre
"Ségoula" est le trésor d’harmonie singulier et spécifique d’être
unique vers laquelle nous devons tendre par dosage, pour nous adapter à la vie
("L'hébreu, miroir de l'être" de Irit Slomka Saguy, éd.
Grancher 2001).
[7] http://www.dreuz.info/2015/10/21/dans-le-coran-lamour-du-prochain-nexiste-pas-le-mot-amour-est-oublie/ Le coran est gratuit sur
internet : http://wikilivres.ca/w/images/b/b3/Le_Coran.pdf.
[8] Pas de
majuscule pour les faux dieux. L’emploi du terme "mahométans" au lieu
de "musulmans" renvoie à l’imitation de leur grand modèle Mahomet,
assassin, voleur et violeur.
[9] Idole
lunaire, d’où la
lune – décroissante – sur les drapeaux.
[10] Ion Pacepa, chef des renseignements roumains passé à l'Ouest en 1978, raconte
comment le KGB a inventé en 1964 le "peuple palestinien", seul peuple
à avoir été créé pour servir à l’anéantissement d’un autre peuple. L'idée est
de présenter IsraEL comme un puissant Goliath écrasant le pauvre palestinien David
qui n'a que des pierres pour se défendre.
[11] Il n'y
a pas d'échappatoire à traduire ici "qui sont cananéens". "Répandus depuis Canaan" qu'on trouve
souvent est pure invention (vérifiez votre traduction). Outre le sens
d'habitant de Canaan, "Cananéen"
signifie aussi au sens figuré
"marchand" comme dans Proverbes 31 :
24, Isaïe 23 :8, Osée 12 : 8, Zacharie 14 : 21, Job 40 : 30. D.ieu ne fait
pas Alliance avec un peuple pour qu'il soit commerçant. C'était un pis-aller
d'exil, les autres métiers étant interdits aux Juifs. Il y a mieux à
faire ici en IsraEL à présent.
[12] Voir notre brochure "La Bible parle de la France et de
l'Espagne". On continue de souffler le verre
aujourd'hui à Sarafand, nom arabe de Tsaréphath que l'archéologue Pritchard a
fouillé de 1969 à 1974. Voir aussi http://www.cristallerie-hartwig.com/fichiers%20PDF/DEC.pdf