בס''ד
Des dirigeants européens louent et financent les nouveaux « terroristes modérés » qui remplacent les dictateurs.
Nous constatons que le soi-disant printemps arabe est en réalité un rude hiver mahométan.
Shaoul Mofaz (général ancien chef d’état-major, député Kadima) estime que le risque d’une nouvelle guerre avec la Syrie est très réel.
« Plus le processus d’agonie du régime Assad avance, plus le risque de confrontation avec Israël croît. A son crépuscule, il est fort probable qu’Assad tente de dévier l’attention en déclenchant une confrontation avec Israël. »
Quelles options restent au dictateur syrien ?
- finir lynché comme Kadhafi ?
- s’exiler ? Qui en voudra ?
- sortir la carte ultime : la haine des mahométans contre les Juifs qui occupent une terre d’islam.
Le dictateur Bachar El-Assad peut espérer retourner la situation en sa faveur et devenir le héros de la rue arabe. Celle-ci oubliera alors les 4000 civils exécutés sommairement, les innombrables détentions arbitraires, le plus souvent accompagnées de tortures, et les viols de prisonniers, y compris des enfants.
Cette semaine, lors de manœuvres, il a fait tirer à l’est de la Syrie un missile Scud-B d’une portée de 300 kilomètres en direction de la frontière avec l’Iraq, ainsi que des roquettes sol-sol de calibre 300 mm et 600 mm d’une portée de 150 à 200 kilomètres.
De manière inhabituelle, les médias syriens ont eu le « droit » de diffuser des images de ces manoeuvres qui étaient un message destiné à la communauté internationale.
Le Scud-B est équipé d’ogives chimiques, et IsraEl se trouve dans le rayon de 300 km. Nous nous rappelons les menaces proférées en mai 2011 par Rami Makhlouf, le cousin d'Assad, qui avertissait que « la déstabilisation de la Syrie par l’extérieur entraînerait celle de toute la région et d’Israël en premier lieu ».
Autre élément qui montre que la situation commence à leur être hors de contrôle, les rats de la direction du Hamas basés à Damas viennent de quitter le navire syrien qui prend l’eau, malgré le vif déplaisir de l’Iran.
מַשָּׂא דַּמָּשֶׂק הִנֵּה דַמֶּשֶׂק מוּסָר מֵעִיר וְהָיְתָה מְעִי מַפָּלָה ׃
« Charge (oracle) touchant Damas. Voici, Damas va cesser d’être une ville, elle sera un monceau de ruines. » (Isaïe 17 : 1)
